Après avoir présenté son premier SUV il y a deux mois, Alfa Romeo ouvre les commandes du Stelvio. Il n’est pour l’heure proposé qu’en une seule motorisation et une finition baptisée First Edition.
Le Stelvio est bien doté de série mais pas pour autant être à la pointe de la technologie. Nous trouvons ainsi les jantes de 20 pouces, des étriers de freins peints, des vitres arrière surteintées, des phares bi-xenon (Alfa fait l’impasse sur les LED), cuir pleine fleur et sièges chauffants, inserts bois, navigation 3D sur écran 8.8 pouces, instrumentation à écran couleur 7 pouces, caméra de recul avec aide au stationnement avant et arrière, hayon à ouverture automatique.
Pour ce qui est de la sécurité, nous retrouvons le freinage autonome, l’alerte de franchissement involontaire de ligne (sans correction de trajectoire), allumage automatique des feux.
Sous le capot, un seul moteur essence, le 2.0 turbo de 280ch et 400Nm de couple accouplé à une boite automatique à 8 rapports et une transmission intégrale nommé Q4. Le Stelvio est typé propulsion avec une répartition à 60% du couple sur l’arrière dans de bonnes conditions d’adhérences. De plus, un système Torque Vectoring permet une répartition optimale du couple sur les roues d’un même essieu.
Les consommations selon le cycle officiel européen restent raisonnables au regard des performances : 7L /100km et 0 à 100km/h abattu en 5,7 secondes.
Ainsi doté, l’Alfa Romeo Stelvio est affiché à 57 400€. Au regard de l’équipement de série la facture est importante. Les concurrents allemands moins puissants sont certes encore plus onéreux mais mieux équipés.
Vont arriver dans les mois à venir d’autres motorisations essence et diesel.